jeudi 10 mai 2007

Tel père tel fils...

ou pas...

Nous ne sommes pas dans le même univers. La mythologie japonaise qui nous émerveille tant n'est pas présente. Nous sommes plongés dans le monde d'Ursula LeGuin.

J'ai trouvé ce film un peu long et parfois difficile à suivre. Mais les atermoiements du jeune garçon sont très bien traités : le déchirement intérieur, la peur de vivre, l'attirance vers la mort, les pulsions de destruction...

Mais ce qui me restera surtout en tête, c'est la cité Horteville et ses magnifiques décors. Et là, chapeau!

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